top of page

Obligations du psychopraticien vis-à-vis de ses patients
Le psychopraticien s’engage à ne pratiquer que les disciplines pour lesquelles il est formé, celles-ci devant être sanctionnée(s) par un certificat ou un diplôme reconnu par l'organisme de formation.
Le psychopraticien œuvre dans un cadre thérapeutique défini comme tel.
Le psychopraticien s’engage à ne pas abuser de son statut pour entraîner à des pratiques illégales.
Le psychopraticien instaure une règle absolue de non-violence sur les personnes et sur les biens.
Le psychopraticien s’engage à ne pas prescrire de médicaments soumis à la réglementation médicale.
Il ne conseille en aucun cas l’interruption d’un traitement médical prescrit par un membre du corps médical.
Le psychopraticien n’utilise pas son « pouvoir » thérapeutique pour promouvoir un dogme ou une religion.
Le psychopraticien ne rejette aucune personne en fonction de sa croyance, de sa religion ou de sa race.
Le psychopraticien n’engage son « protocole » thérapeutique que s’il y a demande effective dans ce sens de la part du patient.
Le psychopraticien est libre d’accepter ou non de s’engager dans un accompagnement thérapeutique avec un(e) patient(e).
Le psychopraticien ne peut en aucun cas utiliser un cas clinique à des fins publicitaires personnelles. En cas de publication, il s’enquiert de l’autorisation du (ou des) patient(s) concerné(s) en respectant les règles de base de cet exercice (changement de nom, de domicile, de profession, d’âge...) afin d’être dans le respect du secret professionnel.
Le psychopraticien fixe lui-même la durée de ses séances et ses honoraires en toute conscience. Il en informe son patient dès la première séance.
Obligations du psychopraticien vis-à-vis de lui-même
Il s’engage aux règles suivantes :
1. Avoir suivi une psychothérapie personnelle approfondie.
2. Etre continuellement dans la curiosité des nouvelles approches thérapeutiques et s’informer de leurs tenants et aboutissants soit sous forme de lectures, soit sous forme de formation.
3. Etre suivi(e) dans le cadre d’une supervision de la pratique professionnelle par un superviseur ayant au moins 5 années d’exercice de plus.
4. Accepter la notion de « secret professionnel partagé » dans le cadre des supervisions de groupe et ne rien dévoiler à l’extérieur des cas cliniques débattus.
5. Ne pas accepter de conditions de travail qui le mettrait en porte à faux vis-à-vis de l’application de ce code de déontologie.
bottom of page

